Alternatives aux plastiques à usage unique
et créations nantaises
Ensemble, réduisons les plastiques.
Le rêve d’une mer sans plastiques est aux origines d’Unigreen.
Depuis l’enfance, le Grand Bleu a éveillé notre esprit à la
poésie de la nature. Avec le temps, nous avons découvert que
dans sa majestueuse immensité, l’océan n’échappait pas à la fragilité. Le témoignage de celle-ci réside dans ces plastiques que l’on retrouve sur nos plages. Ils ne sont que la face immergée de l’iceberg.
Constater que 75% des plastiques déjà produits sont aujourd'hui des déchets
est une perspective aussi effrayante que mobilisatrice.
Face à cette réalité,
nous agissons en proposant :
Le rêve d’une mer sans plastiques
est aux origines d’Unigreen.
Depuis l’enfance, le Grand Bleu a éveillé notre esprit à la poésie de la nature.
Avec le temps, nous avons découvert que
dans sa majestueuse immensité, l’océan n’échappait pas à la fragilité.
Le témoignage de celle-ci réside dans ces plastiques que l’on retrouve sur nos plages.
Ils ne sont que la face immergée de l’iceberg.
Constater que 75% des plastiques déjà produits sont aujourd'hui des déchets est une perspective aussi effrayante que mobilisatrice.
Face à cette réalité,
nous agissons en proposant :
cousus main à Nantes
à partir de matières végétales
engagées dans le Zéro Déchet
zéro déchet
tuto vidéo
Unigreen. Artisan de la nature au quotidien
Unigreen propose des articles cousus main à Nantes et réutilisables, des produits fabriqués à partir de matières végétales, des marques françaises engagées dans le zéro déchet.
Saviez-vous que 94 % des matières plastiques rejetées dans nos océans terminent sur le plancher océanique ? Parti de ce constat, Unigreen, artisan de la nature au quotidien, aborde le problème des plastiques à la source : utiliser des sacs et bouteilles réutilisables, des charlottes en tissu plutôt que du film alimentaire, du savon solide à la place du gel douche, préférer les matières végétales aux matières plastiques… Voilà des solutions pour réduire drastiquement notre consommation de plastiques, sachant qu’un tiers d’entre eux finiront dans la nature…
Smart Ideas
présenté par Thomas Hugues
Une maison zéro déchet
Une solution innovante pour un futur plus responsable et durable ? C’est SMART IDEAS ! Le rendez-vous de toutes les idées bonnes pour la planète !
Mardi 10 mai 2022, SMART IMPACT reçoit Camille Egloff (Directrice associée senior, Boston Consulting Group (BCG)), Olivier Barts (CEO et fondateur, Green Systems Automotives (GSA)), Bruno Delahaye (Président, Sud Plaisance) et Maryève Berthelot (Fondatrice, Unigreen)
Nantes. L’ingénieure engagée mise tout sur le bambou
(...) Le déclic ? Un voyage au long cours dans le Pacifique qui la met en prise directe avec la nature et la beauté des choses simples. Ce n’est pas une révélation : cette surfeuse éprise de l’océan a compris depuis longtemps l’urgence de préserver les éléments. « Quand je suis dans la mer, j’ai envie de la protéger. »
Unigreen propose des alternatives aux plastiques
8 décembre 2020 à 19h51
Durée : 2 minutes, 28 secondes
Réduire son utilisation de plastiques avec de beaux objets du quotidien éco-responsables et personnalisables. Unigreen propose des alternatives pour la salle de Bain, la cuisine et travaille avec de nombreux artisans de la région Nantaise pour proposer de beaux coffrets.
Encore une idée cadeau pleine de sens !
Animé par : Sylvain Hit West
Émission : LA MINUTE POSITIVE
Produit par : Hit West
Plastique et zéro déchet : entreprises et familles luttent ensemble
29/10/2020
L’Europe s’attaque à la pollution plastique: dans moins d’un an il ne sera plus possible d’utiliser des produits en plastique à usage unique, selon la Directive votée par le Parlement et le Conseil, et qui entre en vigueur le 3 juillet prochain.
En même temps, les familles qui passent aux Zéro déchet se multiplient, comme l’explique Morgane, qui a radicalement changé ses habitudes.
Dans la maison, pour nos courses, on privilégie déjà les circuits courts. On a des sacs de vrac plutôt que des sacs en plastique, je me suis mise à la couture pour faire des mouchoirs réutilisables, des charlottes pour conserver nos plats, on a des brosses à dent en bambou, on se déplace encore plus à vélo. Donc, au final c’est une démarche bénéfique pour le portefeuille sur le long terme.
Avoir des enfants sans produire de déchets c’est difficile, mais pas impossible.
Emmener les enfants dans les Zéro Déchet c’est aussi une démarche éducative pour que ce ne soit pas quelque chose de contraignant par la suite, mais qu’ils aient été élevés dans cette démarche et que par conséquent ce soit naturel pour eux.
En Italie plusieurs villes ont réduit leurs déchets, grâce à des poubelles spécifiques, Loïc en a fait l’expérience.
En Italie, chaque village a des poubelles spécifiques, pour le carton, les déchets organiques, les huiles, et surtout c’est payant et ça pousse aussi les gens à réfléchir à leur façon de jeter et on voit que dans les maisons les poubelles sont plus petites.
Unigreen c’est un exemple d’entreprise nantaise qui lutte contre le plastique, Maryève Berthelot en est la fondatrice.
Le but d’Unigreen c’est de proposer des solutions au plastique à usage unique et de remplacer le plastique par des matières végétales pour plusieurs raisons: la première c’est que le bambou c’est une matière végétale qui va nécessiter peu d’énergie à être transformée; la deuxième c’est que le bambou capte 30% de CO2 en plus que les arbres, il pousse très vite. Ces produits sont fabriqués pour la plupart au Sri Lanka, au Japon, et en Chine parce qu’ils ont la culture du bambou, ils savent comment l’utiliser, l’exploiter et le transformer. J’ai donc envie d’avoir un contact direct, d’ouvrir un commerce et m’adresser directement aux gens qu’on va croiser dans la rue.
Même si passer au bambou a des conséquences non négligeables sur l’environnement, il représente aujourd’hui une alternative moins impactante que le plastique.
Giuseppe Sconosciuto
Unigreen : prendre la vie par le bambou !
25/09/2020
Du plastique, du plastique et encore du plastique... A l'heure de l'urgence climatique et de la nécessaire transition écologique, la planète étouffe sous les déchets plastiques. Selon la revue Science, si rien n’est fait, le volume de déchets plastiques jetés dans la nature sera multiplié par 2 en 20 ans. Ainsi en 2040, 80 millions de tonnes de plastique termineront hors du circuit de gestion des déchets, soit l’équivalent du poids de 160 pétroliers, chaque année…
Le constat est déjà sans appel. Le plastique est la première matière transformée que l'on retrouve sur les plages. Il tue les animaux marins et empoisonne les poissons et crustacés que nous mangeons ensuite.
De plus, l’extraction de sa matière première – le pétrole - nécessite un parc matériel très coûteux, complexe à produire et à mettre en place. Avec un impact énergétique colossal : en effet, pour trouver un puits de pétrole, il faut creuser la lithosphère à des profondeurs pouvant atteindre 12 km. Et il faut ajouter à cela, le risque dangereux d'embrasement des plateformes et des marées noires – la dernière sur l’île Maurice le 25 juillet dernier.
Enfin chacun de nous est à la fois le problème et la solution car « 79 % des déchets retrouvés sur les plages sont des plastiques à usage unique. ». Il est du devoir de chacun de repenser sa manière de consommer.
Conscientes de ces enjeux, et pour la plupart engagées dans une démarche RSE, les entreprises accordent de plus en plus d’importance à la préservation de l’environnement. Elles ont commencé à transformer leurs pratiques en profondeur, en utilisant des modes de production plus vertueux, mais aussi en adoptant de bons réflexes au quotidien (mugs plutôt que tasses en plastique, paniers à fruits, choix d’électricité verte, covoiturage, incitation à l’utilisation du vélo…)
Pour aller plus loin dans la réduction de leurs déchets plastiques, Unigreen leur propose des solutions simples et concrètes à mettre en œuvre dans leurs structures. Cela permet de traiter le problème des plastiques à la source.
Le concept Unigreen ?
La nouvelle éco ! Unigreen, Une jeune nantaise propose une maison sans plastique
16/09/2019
Se débarrasser du plastique dans sa salle de bains et sa cuisine. C'est ce que vous propose Unigreen, une marque nantaise qui troque les matières polluantes contre du végétal. Objectif : réduire les déchets plastiques de sa maison et faire des économies.
A la faveur d'un séjour en Nouvelle-Zélande, Maryeve Berthelot rencontre un kiwi. Ce néo-zélandais fait du commerce de bambou pour des objets du quotidien. Brosses à dents, porte-savons. Maryeve a un déclic. Elle décide de remplacer toutes les matières toxiques de nos salles de bains et cuisines par du végétal : bambou, coco, tissu. Le but est d'allier l'acte à la parole et de tendre vers une maison zéro déchet.
Un atelier dans la maison de ses parents à Nantes
Et elle se met au travail dès son retour à Nantes. A 27 ans, Maryeve installe son atelier dans la maison de ses parents, dans le quartier Zola à Nantes. en créant son emploi, elle fabrique aussi à la main des pochettes à savon, des lingettes démaquillantes, des lingettes réutilisables "Intimette"...
Des produits longue durée et économiques
Aussitôt après sa prise de conscience, elle fait l'inventaire des objets en plastique chez elle. Il y en a beaucoup trop. C'est alors qu'elle conçoit des coffrets. En lieu et place des pinces à linge en plastique, on trouve du bambou, à la longévité qui n'est plus à prouver. Cette action évite d’extraire du pétrole. Mais aussi de garder les produits plus longtemps et donc de faire des économies //
L’autre innovation de Unigreen, ce sont les contenants qui manquaient beaucoup. Un porte savon, des contenants pour les voyages...
Maryeve Berthelot assume de faire importer par bateau certaines matières végétales issus d’autres continents. Certes, c’est moins écologique mais elle attend impatiemment de trouver bientôt plus de fabricants français de matières en bambous. cela passera par un éveil plus fort des consciences envrionnementales.
Karina Ykrelef
Unigreen, cette nouvelle entreprise qui dit stop au plastique
22/11/2019
La Nantaise Maryève Berthelot vient de lancer son entreprise d’objets en bambou, Unigreen, pour en finir avec les produits en plastique.
Le plastique a vocation à disparaître de notre quotidien, petit à petit. Et les entreprises qui proposent des alternatives fleurissent dans bien des domaines. Brosse à dent en bambou, pailles de diverses matières… La Nantaise Maryève Berthelot a décidé de se lancer dans la bataille.
Elle vient de lancer Unigreen pour commercialiser des produits en matières alternatives au plastique. « J’ai eu le déclic lors d’un voyage en Nouvelle-Zélande. J’ai rencontré un Néo-Zélandais qui a investi dans ce domaine. Là-bas, ça marche bien car ils ont une conscience forte des questions environnementales. Puis, il y a la rencontre avec Clémence Monnier et la décision de tenter quelque chose ensemble.
Parmi les produits qu’elles proposent : brosses à dents en bambou, personnalisables, brosse à nettoyer japonaise en fibre de noix de coco, pinces à linge et couverts en bambou et pailles en inox. On a essayé les pailles en bambou mais l’eau reste en partie et provoque des moisissures. Ce que nous évitons avec l’inox, explique l’entrepreneuse de 27 ans.
Envie de made in France
Maryève Berthelot a conscience que, pour l’instant, ses produits ne sont pas 100 % nature car ils sont fabriqués en Asie (Chine, Japon et Sri Lanka). Nous commençons à peine et nous n’avons pas les moyens financiers de produire en France mais c’est notre souhait à terme. Elle a investi 7 000 € sur ses économies personnelles pour créer le projet. « Je fonctionne à l’anglo-saxonne : d’abord l’action, ensuite l’ajustement en fonction des résultats.
Leur cible ? Les particuliers mais aussi les entreprises telles les hôtels, les compagnies aériennes, les foodtrucks pour les couverts ou encore l’événementiel… Nos brosses à dents sont personnalisables et nous travaillons à ce que la tête puisse être séparée du manche pour pouvoir les recycler séparément mais aussi conserver uniquement le manche. Leurs produits sont pour l’instant vendus à Paris, à la boutique Ground Control. Elles seront aussi sur un marché de Noël à côté de Strasbourg, d’où est originaire Clémence Monnier. Et une boutique en ligne est disponible.
Unigreen est aussi en partenariat avec l’école Audencia et la mairie de La Baule. Le 11 décembre, elles vont planter 117 arbres dans cette ville, après l’opération une brosse à dents achetée, un arbre planté lors du triathlon.
Avant ce projet, Maryève Berthelot était ingénieure en bâtiment. Mais j’avais envie d’aller vers plus de créativité. Je me suis dit que c’était le moment.
Julie Cateau
La Baule. Triathlon : le goût de l’effort pour la planète
21/09/2019
Tout juste sortie de l'eau et encore en combinaison après une épreuve de natation, "500m avec beaucoup de vagues", Maryève Berthelot, Nantaise, raconte avoir participé à son premier triathlon de La Baule à l'âge de 7 ans. "J'ai fini bonne dernière, car j'avais trois ans de moins que les autres participants, je remplaçais ma grande soeur". Elle vient tout juste de créer son entreprise, Unigreen, en août. Elle commercialise des objets du quotidien, recyclables : brosses à dents, pailles en inox, brosses en poils de coco... "L'histoire est née en Nouvelle-Zélande, où je suis restée un an et où j'ai découvert la brosse à dents en bambou, qui est beaucoup utilisée là-bas. Les Néo-Zélandais ont peut-être une plus grande sensibilité à la nature qu'en France. Le hasard a fait que j'ai rencontré la personne qui les vend là-bas, un surfeur. J'ai appris à surfer en Nouvelle-Zélande, on s'est bien entendu et il m'a offert une valise entière de produits. J'ai aussi beaucoup été soutenue par Hervé Delaunay, directeur du triathlon, qui me permet de promouvoir cette marque, ce week-end. Le but est de réduire les déchets que l'on retrouve dans les océans, avec des produits de qualité que je souhaite aussi vendre auprès des entreprises et notamment des hôtels."
Nadine Potdevin